Vincent Cassel is his son’s first “Sept at Huit”

VIDEO – L’acteur raconte la relation qu’il entretenait avec Jean-Pierre Cassel dans le portrait of Audrey Crespo-Mara sur TF1.

It dimanche January 29, Vincent Cassel s’est preté à l’exercise du portrait d’Audrey Crespo-Mara dance «Sept a huit». À l’affiche de la nouvelle adaptation de la bande dessinée Asterix , cette fois-ci réalisée by Guillaume Canet, l’acteur est revenu sur son illustre généalogie. Son père Jean-Pierre Cassel, ne voulait pas d’une life de comédien pour lui. “It is the most complex that this is.” Vincent Cassel commences. It is raconte: “On ne peut pas diriger ses enfants dans ce genre de carrière parce que c’est un terrain tellement incertain. And it’s telling frustrant et abîmant, surtout si ça ne marche pas. C’est un truc où on vous refuse to pour la gueule que vous avez, pour ce que vous dégagez. On vous refuse to pour ce that you vous êtes ». “Don’t forget to tell your children in this genre of direction, they are assent as criminel” conclut-il.

Quand il est petit, son pere est absent. “This is the history of a life of remembrance of traumatic injuries.” Analyze the following person who is on his son’s tour. Deva and Léonie are not her son union with Monica Bellucci. In 2009, it’s now a petite fille who has seen the compiler of Tina Kunakey’s passion for Amazonie Cassel, a baptisée ainsi en l’honneur de son amour for Brésil. “I am a beau cupful of my children” déclare Vincent Cassel, comme pour marquer le contraste avec son propre père. “On a besoin de recevoir de l’amour quand on se construit” Assure-t-il. Adolescent, il est envoy en internat, une experience loin du foyer qui lui est douloureuse. “Je ne me rendais pas compte que j’étais à ce point en colère” Raconte l’acteur à Audrey Crespo-Mara. He declared that these sentiments enfouis se reluctance in his autres relations, like the couple, «on se rend compte qu’on n’est pas apaisé».

An act manqué

Ce contraste avec son père, il l’entretient aussi dans sa carrière. They don’t join jamais ensemble. Jusqu’au biopic Mesrine où Jean-Pierre devait jouer le rôle du père de Vincent. Hélas, as an act manqué, alors que leur collaboration est actée par la production du film, le cancer l’emporte. «L’ADN, voilà the secret of immortality» pour Vincent Cassel. «C’est quand on arrête de vouloir se démarquer de ses parents qu’ils resurgissent» décrypte l’acteur, loin de l’image mystérieuse qu’il entretient habituellement. «Physiquement, on final par ressembler à ses parents, parfois d’une manière détournée» poursuit-il à la fin de la séquence diffusée sur TF1.

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