Preview La new bombe atomique du Game Pass en 2023! On my face
Lors des Game Awards 2022, a band-announced brand of esprits. Atomic Heart soufflait alors un vent de fraicheur sur la cerémonie presente by Geoff Keighley avec sa dystopie soviétique inspirée des monstres sacres du FPS. Les studios Mundfish et l’Editeur Focus Entertainment s’ apprêtent-ils à large une bombe atomique sur le monde du jeu vidéo? Voici les premiers éléments de response.
Conditions of labor
Lors d’un événement organization by Focus Entertainment sur Paris, la rédaction de JV a pu découvrir sur PC les 3 premières heures d’Atomic Heart ainsi qu’une zone accessible plus tard dans l’aventure et se concluant par un combat de boss.
A Bolchévique dystopia
Les studios Mundfish revisited the history with his grand father and situent leur intrigue au cœur d’une Union Soviétique utopique… en apparence du moins. Atomic heart dépeint une chronie, celle d’une URSS toute puissante suite à ses avancées en robotique au course des années 30 and his son écrasante victoire sur les forces du IIIe Reich dès 1941. Face à d’immenses pertes en vie humaines, le pays s’automatise. The laboratory is allors confié à des robots place sous le control d’un esprit de ruche collectif. We sommes désormais in 1955 à l’aube d’un changement majeur pour la “mère patrie”, celui de la découverte du neuro-polymère, une matière programmable basee sur des tissus vivants, et du lancement du Collectiv 2.0. Malheureusement, rien ne va se passer as prévu. Seul l’agent special Major Nechaev aka P-3 est en mesure de sauver la situation.
Dès les premières minutes, l’une des principales inspirations qui a donné naissance à cette bolchévique dystopie saute aux yeux. Atomic Heart is the hero of Bioshock Infinite, which is unique. L’existence même de la base souterraine 3826 dont le héros est prisonnier rappelle fortement un certain complexe Black Mesa (Half-Life). D’autres joueurs pourraient également y percevoir un hommage appuyé à Control de Remedy avec ses différents laboratoires aux ambiance très marquées. The jeu edited by Focus Entertainment could be defined as a monde oververt à la particularite pres qu’il se compose of more zones semi-oververtes reliées entre elles par ce fameux complexe 3826 servants of the “central hub”.
Atomic Heart est un open world ce qui ne l’empêche en rien de mettre l’emphase sur l’histoire. L’aventure, dont la durée oscille entre 25 et 30 heures selon les dires des devloppeurs, se veut hautement narrative et offre de nombreuses cinematiques qui ponctuent parfaitement la progression. mieux encore, This FPS prend son temps quitte à ouvrir les portes de son monde ouvert qu’après une poignée d’heures à déambuler au sein d’un labyrinthe ludique. L’accent est ainsi mis sur une ambiance hautement oppressante et un apprentissage à la dure des règles qui régissent la dystopie imaginée par les équipes créatives de Mundfish.
La direction artistique qui mêle architecture brutaliste, passé retro-futuriste et années 50 est à mettre aux crédits des designers qui ont bati un crédible univers et coherent toujours prompt à nous émerveiller. The technique is not pas en reste. Les premieres promettaient une claque graphique à la “soviet”, and les studios ont live the marchandise. Atomic heart is marked by its visual bluffs, as well as its realization in its créativite, and even more so because the P-3 adventure in the complex of 3826 we do not have enough surprises. And also si cela ne suffisait pas, le jeu est intégralement doublé et sous-titré in français (VF + VOSTFR). The people are perfect!

Le cauchemar d’Asimov
Atomic Heart appartient au genre du jeu de tir à la première personne et de fait propose son lot d’affrontements qui vont rapidement se révéler corsés. Le FPS des studios Munfish n’épargne rien (ou presque) à ceux qui qui osent fouler du pied le fleuron technologique de l’URSS. Dès les premiers ennemis, the ton is donné. Entre combats au corps à corps et échanges de tirs, le Major Nechaev s’emploie à survivre tant bien que mal face à un bestiaire varié composé de robots, de mutants et autres joyeusetés nées de l’imagination fertile des savant russes. Pour ce faire, il peut compter sur un gant muni d’une IA prénommée Charles qui, au-delà de ses conseils avisés, lui octroie des aptitudes qui vont s’avérer essentielles pour subsister.
Les studios Mundfish se sont inspirés entre autres de Bioshock pour concevoir ce periple Bolchévique, et ont donc intégré une dimension Light-RPG offrant aux joueurs l’opportunite de personnaliser le hero et son equipement. A mesure that P-3 is progressing, il est invité à debloquer des compétences passives, des pouvoirs et à richir-ameliorer son arsenal afin d’opposer une certaine resistance à une “faune” locale particulièrement belliqueuse. Sur ce point en particulier, Atomic Heart n’a rien de surprenant, mais s’avère consciencieux. It is a fort plaisant of mastering the skills of major technologists and customizing armes of various variants.puis de les mettre à l’épreuve lors d’un combat acharné face aux sbires du Collectiv 2.0 ou encore un boss retors.
Impossible to quit the complex 3826 sans aborder l’exploration of this monde ouvert érigé à la gloire de l’URSS et le simple plaisir de la couverte qui en découle. Atomic heart se renouvelle régulièrement, also bien visuellement que d’un point de vue ludique, afin d’offrir aux joueurs une epopée memorable. Au-delà des visuals mentionednés plus tôt et des mysteres dissimulés un peu partout, des puzzles toujours plus astucieux et faisant appel aux compétences du héros mettent à l’épreuve our jugeote avec malice. Ce FPS ne se contente pas de faire parler la poudre. There are no nerves, incite to reflux and exige abnegation and curiosity.

No impressions
Atomic Heart a toute les cartes en mains pour pretendre au titre de “bomb atomique” de 2023. Inspiré de Bioshock, Half-Life ou encore de la trilogie Metro, the titre des Mundfish studios is ambitieux and repose sur des fondations solides sans pour autant oublier de tracer his propre voie. You will find an FPS généreux au dernier degré qui devra confirmer en février tout le bien que nous pensons de lui.
L’avis de la redaction
Excitant