
NETFLIX-ARTE.TV – À LA DEMANDE – DOCUMENTAIRES
On ne presente plus Marina Abramovic (née en 1946), pas plus qu’on ne presente Robert (ou Bob, selon les cas et les époques) Wilson (né en 1941): his and the l’autre son of grands noms de l’avant-garde artistique depuis les années 1970, polyvalents dans l’expression of leur art, qui a atteint un vaste public. Leur confrontation était à la fois risquée et inévitable: elle se fit en 2011 à l’occasion d’un spectacle dont la trame est la vie de la Serbe installée aux Etats-Unis, The Life and Death of Marina Abramovic.
Mais comment the tout-à-l’ego and the tres forte personnalité d’Abramovic, célèbre for ses performances and ses happenings extremes, allaient-ils s’accorder to l’univers conceptuel et poétique du metteur en scene – plasticien, concepteur des lumières (essentielles) de ses spectacles et également ancien danseur -, connu pour son horreur du naturalisme?
A vrai dire, cela semble s’être passé as a charme, si l’on en croit les interresses eux-mêmes, filmés dans le cadre du documentaire Bob Wilson’s Life and Death of Marina Abramovic (2012), de Giada Colagrande, on Netflix, as well as the chanteuse of Britannique transgenre Anohni, encore connue sous son nom et son genre de naissance au moment du tournage, Antony Hegarty, et l’acteur américain Willem Dafoe.
Pour l’occasion, Marina Abramovic s’est faite petite et humble, mais avec cette affectation dont elle a le secret. Elle pleure face à la camera, ressasse ses blessures d’enfance, raconte sa vie de martyre devenue sainte apres avoir trouvé le chemin de la liberté et du bonheur. Non: pas le bonheur, qu’elle trouve trop ennuyeux et limité. It is more honorable, in the écoute and la maîtrise of soi and le « return to simplicity ». Sinon, dit-elle, “We all have no one.”
Disciples
Devenue gourou, la Serbe a mis au point la «Abramovic method» (contested in 2010 by a long time enquête du New Yorker) et la propage grace à des disciples formés pour porter la bonne parole dans le futur, notamment auprès du public de la musique classique. Ce qu’a filmé Andreas Grafenstein pour Marina Abramovic, art de l’écoute (2019), un Documentaire that rediffuse Arte.
The Abramovic ne faisant que les choses en grand, on a fait du parterre de l’Alte Opera de Francfort un plateau nu où une partie du public vient, à force de détente corporelle, de retrait du monde environnant, des bruits parasites et des outils technologiques, this is the faire le vidé pour accuellir la plénitude de la musique.
All these are the airs of déjà vu new age, and the series that entourage the experience of parfois penser à l’hilarante parodie faite par les farceurs de Documentary Now (on Netflix), où Cate Blanchett joue Izabella Barta, une artiste (also sado que maso) à fortnite qui ne fait le vide qu’en se remplissant d’elle-meme…
The problem is that, lorsqu’on entend la violoniste Caroline Widmann jouer de manière imparfaite une Sonate d’Eugène Ysaÿe, on his vite rappelé au réel. En revanche, quand the violoncellist Nicolas Altstaedt joue une Sarabande de Bach, that’s why he created the mystère, the silence of his self, that is the relaxation preparatoire not pouring out his jamais égaler.
Bob Wilson’s Life and Death of Marina Abramovic, de Giada Colagrande (Italie, 2012, 57 min). Sur Netflix
Marina Abramovic, art de l’écoute, d’Andreas Grafenstein (All., 2019, 53 min). Sur Arte.tv jusqu’au 16 april.